Tell Diane - 180426273.gif

Tell Diane

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La chaleur suffocante rendit pénible
Le passage dans ces bois denses et sombres
Mais quand le bleu de la mer fut visible
Le sentier devint presque sans encombre
Comme animée d'un second souffle
J'accourus
Vers cette éblouissante étendue

A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair

Au large, devant la nuit un voilier blanc
S'approchait de l'eau calme près des terres
Au large de ma vie le ciel brûlant
Avant de s'éteindre fit la lumière
Sur le détour permettant d'éviter
Le récif de corail immergé

A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair

Comme animée d'un second souffle venu
D'une telle éblouissante étendue

A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair

A court de force et sans guide
En bordure de la falaise
La proximité du vide
Paralyse les jambes tant elle pèse
C'est pourtant des sommets
Qu'on y voit le plus clair.

Mirror lyrics:

Qu'on y voit le plus clair.
C'est pourtant des sommets
Paralyse les jambes tant elle pèse
La proximité du vide
En bordure de la falaise
A court de force et sans guide

Qu'on y voit le plus clair
C'est pourtant des sommets
Paralyse les jambes tant elle pèse
La proximité du vide
En bordure de la falaise
A court de force et sans guide

D'une telle éblouissante étendue
Comme animée d'un second souffle venu

Qu'on y voit le plus clair
C'est pourtant des sommets
Paralyse les jambes tant elle pèse
La proximité du vide
En bordure de la falaise
A court de force et sans guide

Le récif de corail immergé
Sur le détour permettant d'éviter
Avant de s'éteindre fit la lumière
Au large de ma vie le ciel brûlant
S'approchait de l'eau calme près des terres
Au large, devant la nuit un voilier blanc

Qu'on y voit le plus clair
C'est pourtant des sommets
Paralyse les jambes tant elle pèse
La proximité du vide
En bordure de la falaise
A court de force et sans guide

Vers cette éblouissante étendue
J'accourus
Comme animée d'un second souffle
Le sentier devint presque sans encombre
Mais quand le bleu de la mer fut visible
Le passage dans ces bois denses et sombres
La chaleur suffocante rendit pénible

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