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Tu me dis que tu m'aimes mais les doutes que tu sèmes sont toujours les mêmes
Tu m'infliges des vertiges mais la roue qui t'emmène ne croise jamais la mienne
Je maudis tes non dit les mots qui m'ont trahis à corps et à cris
C'est bien toi que je vais sans regrets mais tu fais tout pour sortir de ma vie
Pour quoi tout arrêter là où tout peu commencer !
Pour quoi se déchirer, il suffirait de se parler !
Pour quoi abandonner là où tout peu arriver !
Pour quoi se déserter, il suffirait de s'écouter !
Chaque fois c'est toujours un sanglant d'amour des mots qui tourne pour qui meurent au petit jour
Chaque fois que j'attends une réponse de toi il n'y a plus personne dit moi ce que tu donnes
Chaque fois tu t'éloignes un peu plus de moi en me laissant le pire pour tuer mon désire
Chaque fois c'est toujours un peu moins d'amour mais si tu fais un geste moi je ferais le reste
Y a des nuits c'est l'enfer rien à faire, je mis perds j'ai plus de repères
Je me dis qu'après tout si je vais jusqu'au bout tout peu changé entre nous
Effacer les erreurs du passé car j'ai enfin le meilleur, revenir au plaisir
sans mentir ni trahir le chemin de l'avenir
Pour quoi tout arrêter là où tout peu commencer !
Pour quoi se déchirer, il suffirait de se parler !
Pour quoi abandonner là où tout peu arriver !
Pour quoi se déserter, il suffirait de s'écouter !
Chaque fois c'est toujours un sanglant d'amour des mots qui tourne pour qui meurent au petit jour
Chaque fois que j'attends une réponse de toi il n'y a plus personne dit moi ce que tu donnes
Chaque fois tu t'éloignes un peu plus de moi en me laissant le pire pour tuer mon désire
Chaque fois c'est toujours un peu moins d'amour mais si tu fais un geste moi je ferais le reste
J'ai les larmes, toi les armes voilà le drame
J'ai beau dire, j'ai beau faire c'est un mystère
L'émotion censurée, balayé, oublié, tu m'as tout pris de ma vie
Avec toi c'est toujours le même discourt
Tu me dis que tu m'aimes, j'y crois à peine
L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changé
Chaque fois c'est toujours un sanglant d'amour des mots qui tourne pour qui meurent au petit jour
Chaque fois que j'attends une réponse de toi il n'y a plus personne dit moi ce que tu donnes
J'ai les larmes, toi les armes voilà le drame
J'ai beau dire, j'ai beau faire c'est un mystère
L'émotion censurée, balayé, oublié, tu m'as tout pris de ma vie
Avec toi c'est toujours le même discourt
Tu me dis que tu m'aimes, j'y crois à peine
L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changé
Je te hais je te aimes c'est mon dilemme
Je m'en vais, tu me viens j'y comprends rien
Entre nous maintenant j'ai si peur je l'avoue de ne pas tenir le coup
J'aimerais que tu m'aimes comme moi je t'aime de l'amour à tout prix à l'infini
L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changer
J'ai les larmes, toi les armes voilà le drame
J'ai beau dire, j'ai beau faire c'est un mystère
L'émotion censurée, balayé, oublié, tu m'as tout pris de ma vie
Avec toi c'est toujours le même discourt
Tu me dis que tu m'aimes, j'y crois à peine
L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changé
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L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changé
Tu me dis que tu m'aimes, j'y crois à peine
Avec toi c'est toujours le même discourt
L'émotion censurée, balayé, oublié, tu m'as tout pris de ma vie
J'ai beau dire, j'ai beau faire c'est un mystère
J'ai les larmes, toi les armes voilà le drame
L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changer
J'aimerais que tu m'aimes comme moi je t'aime de l'amour à tout prix à l'infini
Entre nous maintenant j'ai si peur je l'avoue de ne pas tenir le coup
Je m'en vais, tu me viens j'y comprends rien
Je te hais je te aimes c'est mon dilemme
L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changé
Tu me dis que tu m'aimes, j'y crois à peine
Avec toi c'est toujours le même discourt
L'émotion censurée, balayé, oublié, tu m'as tout pris de ma vie
J'ai beau dire, j'ai beau faire c'est un mystère
J'ai les larmes, toi les armes voilà le drame
Chaque fois que j'attends une réponse de toi il n'y a plus personne dit moi ce que tu donnes
Chaque fois c'est toujours un sanglant d'amour des mots qui tourne pour qui meurent au petit jour
L'émotion censurée, balayé, oublié, à présent tout doit changé
Tu me dis que tu m'aimes, j'y crois à peine
Avec toi c'est toujours le même discourt
L'émotion censurée, balayé, oublié, tu m'as tout pris de ma vie
J'ai beau dire, j'ai beau faire c'est un mystère
J'ai les larmes, toi les armes voilà le drame
Chaque fois c'est toujours un peu moins d'amour mais si tu fais un geste moi je ferais le reste
Chaque fois tu t'éloignes un peu plus de moi en me laissant le pire pour tuer mon désire
Chaque fois que j'attends une réponse de toi il n'y a plus personne dit moi ce que tu donnes
Chaque fois c'est toujours un sanglant d'amour des mots qui tourne pour qui meurent au petit jour
Pour quoi se déserter, il suffirait de s'écouter !
Pour quoi abandonner là où tout peu arriver !
Pour quoi se déchirer, il suffirait de se parler !
Pour quoi tout arrêter là où tout peu commencer !
sans mentir ni trahir le chemin de l'avenir
Effacer les erreurs du passé car j'ai enfin le meilleur, revenir au plaisir
Je me dis qu'après tout si je vais jusqu'au bout tout peu changé entre nous
Y a des nuits c'est l'enfer rien à faire, je mis perds j'ai plus de repères
Chaque fois c'est toujours un peu moins d'amour mais si tu fais un geste moi je ferais le reste
Chaque fois tu t'éloignes un peu plus de moi en me laissant le pire pour tuer mon désire
Chaque fois que j'attends une réponse de toi il n'y a plus personne dit moi ce que tu donnes
Chaque fois c'est toujours un sanglant d'amour des mots qui tourne pour qui meurent au petit jour
Pour quoi se déserter, il suffirait de s'écouter !
Pour quoi abandonner là où tout peu arriver !
Pour quoi se déchirer, il suffirait de se parler !
Pour quoi tout arrêter là où tout peu commencer !
C'est bien toi que je vais sans regrets mais tu fais tout pour sortir de ma vie
Je maudis tes non dit les mots qui m'ont trahis à corps et à cris
Tu m'infliges des vertiges mais la roue qui t'emmène ne croise jamais la mienne
Tu me dis que tu m'aimes mais les doutes que tu sèmes sont toujours les mêmes
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