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Merci
J'en fais des mètres, des kilos de réel, j'en bouffe du cartésien
Des jours et des nuits sans virtuel, vrai, du sûr et certain
Mes rues sont bien droites et toutes m'emmènent
Où les plans l'avaient prédit
Mes heures tournent sans mise en scène, ainsi s'efface ma vie
Quand je pousse cette porte, ticket pour un moment
Une porte où d'autres m'emportent (où) j'aime qui me ment
Merci Thomas, merci les frères, que vos lumières soient
Merci Charlie, merci Steven, Robert et toi François
Merci Vincent, Paul et les autres des ces heures éternelles
Morricone et tous tes apôtres, pour ces bouts de vies belles
C'est là qu'est ma vie, l'autre je l'oublie, rêveurs, enjoliveurs, merci
Je veux des filles et des mots qui volent comme Marlon et Jean-Paul
Les mines de Louis, de Fernandel, frôler Sophia Loren
Je veux les folies de Niro Robert, je veux de Romy l'adrénaline
Voir Al Pacino gagner ses guerres (et) consoler Maryline
Et je pousse cette porte, ticket pour un moment
Cette porte où d'autres m'emportent (où) j'aime qui me ment
Merci Thomas, merci les frères, que vos lumières soient
Merci Charlie, merci Steven, Robert et toi François
Merci Vincent, Paul et les autres des ces heures éternelles
Morricone et tous tes apôtres pour ces bouts de vies belles
C'est là qu'est ma vie, l'autre je l'oublie, rêveurs, enjoliveurs, merci !
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C'est là qu'est ma vie, l'autre je l'oublie, rêveurs, enjoliveurs, merci !
Morricone et tous tes apôtres pour ces bouts de vies belles
Merci Vincent, Paul et les autres des ces heures éternelles
Merci Charlie, merci Steven, Robert et toi François
Merci Thomas, merci les frères, que vos lumières soient
Cette porte où d'autres m'emportent (où) j'aime qui me ment
Et je pousse cette porte, ticket pour un moment
Voir Al Pacino gagner ses guerres (et) consoler Maryline
Je veux les folies de Niro Robert, je veux de Romy l'adrénaline
Les mines de Louis, de Fernandel, frôler Sophia Loren
Je veux des filles et des mots qui volent comme Marlon et Jean-Paul
C'est là qu'est ma vie, l'autre je l'oublie, rêveurs, enjoliveurs, merci
Morricone et tous tes apôtres, pour ces bouts de vies belles
Merci Vincent, Paul et les autres des ces heures éternelles
Merci Charlie, merci Steven, Robert et toi François
Merci Thomas, merci les frères, que vos lumières soient
Une porte où d'autres m'emportent (où) j'aime qui me ment
Quand je pousse cette porte, ticket pour un moment
Mes heures tournent sans mise en scène, ainsi s'efface ma vie
Où les plans l'avaient prédit
Mes rues sont bien droites et toutes m'emmènent
Des jours et des nuits sans virtuel, vrai, du sûr et certain
J'en fais des mètres, des kilos de réel, j'en bouffe du cartésien
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MMerci |
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Mnerci |
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| Mesrci |
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| M3erci |
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Mferci |
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| Merrci |
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| M4erci |
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| Mdrci |
| Mderci |
| Medrci |
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Mwrci |
| Mwerci |
| Mewrci |
| Meci |
| Mecri |
| Medci |
| Merdci |
| Me4ci |
| Mer4ci |
| Megci |
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