Patricia Kaas
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(Michel Amsellem/Joëlle Kopf)

Vous viviez comme un prince je chantais pour trois sous
Dan un bal de province et je rêvais de vous
À la fin du polar, quand vous ne mouriez pas
Comme je l'enviais la dame qui souriait dans vos bras
Je vous aurais aimé avant de vous connaître
Mais vous aurais connu avant de disparaître
Je ne suis pas peu fière, mais je tiens à en rire
Entre toi et le poster j'ai du mal à choisir

Et je te dis vous m'avez éblouie, moi qui n'étais rien
Vous qui aviez tout, vous m'avez dit tu es belle, toute en noir
Quand vous êtes venu m'écouter un soir

C'était au mois de mai, je m'en souviendrai toujours
J'étais morte d'angoisse, vous sachant la dans l'ombre
Puis sont venus vos fleurs et l'espoir d'un amour
Vous le grand, moi la petite, soyez la si je tombe
La gloire est si fragile mais bien moins que mon coeur
On dit qu'elle est le deuil éclatant du bonheur
À la fin du polar, si vous deviez mourir
J'essaierais c'est promis de garder le sourire

Et je te dis vous m'avez éblouie, moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout, vous m'avez dit tu es belle, toute en noir
Quand vous êtes venu m'écouter un soir
Et je te dis vous m'avez éblouie, moi qui n'étais rien
Vous qui saviez tout, vous m'avez dit tu es belle, toute en noir
J'étais si émue, sous votre regard
Quand vous êtes venu m'écouter un soir.


Mirror lyrics:

Quand vous êtes venu m'écouter un soir.
J'étais si émue, sous votre regard
Vous qui saviez tout, vous m'avez dit tu es belle, toute en noir
Et je te dis vous m'avez éblouie, moi qui n'étais rien
Quand vous êtes venu m'écouter un soir
Vous qui saviez tout, vous m'avez dit tu es belle, toute en noir
Et je te dis vous m'avez éblouie, moi qui n'étais rien

J'essaierais c'est promis de garder le sourire
À la fin du polar, si vous deviez mourir
On dit qu'elle est le deuil éclatant du bonheur
La gloire est si fragile mais bien moins que mon coeur
Vous le grand, moi la petite, soyez la si je tombe
Puis sont venus vos fleurs et l'espoir d'un amour
J'étais morte d'angoisse, vous sachant la dans l'ombre
C'était au mois de mai, je m'en souviendrai toujours

Quand vous êtes venu m'écouter un soir
Vous qui aviez tout, vous m'avez dit tu es belle, toute en noir
Et je te dis vous m'avez éblouie, moi qui n'étais rien

Entre toi et le poster j'ai du mal à choisir
Je ne suis pas peu fière, mais je tiens à en rire
Mais vous aurais connu avant de disparaître
Je vous aurais aimé avant de vous connaître
Comme je l'enviais la dame qui souriait dans vos bras
À la fin du polar, quand vous ne mouriez pas
Dan un bal de province et je rêvais de vous
Vous viviez comme un prince je chantais pour trois sous

(Michel Amsellem/Joëlle Kopf)


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