Patricia Kaas
Il Me Dit Que Je Suis Belle

(Jean-Jacques Goldman)

Et quand le temps se lasse de n'être que tué
Plus une seconde passe, dans les vies d'uniformité
Quand de peine en méfiance, de larmes en plus jamais
Puis de dépit en défiance, on apprend à se résigner
Viennent les heures sombres où tout peut enfin s'allumer
Où quand les vies ne sont plus qu'ombres, restent nos rêves à inventer

Il me dit que je suis belle et qu'il n'attendait que moi
Il me dit que je suis celle, juste faite pour ses bras
Il parle comme on caresse, de mots qui n'existent pas
De toujours et de tendresse et je n'entends que sa voix

Eviter les regards, prendre cet air absent
Celui qu'ont les gens sur les boul'vards
Cet air qui les rend transparents
Apprendre à tourner les yeux devant les gens qui s'aiment
Eviter tous ceux qui marchent à deux
Ceux qui s'embrassent à perdre haleine
Y a-t-il un soir, un moment ou l'on se dit "c'est plus pour moi" ?
Tous les mots doux, les coups de sang, mais dans mes rêves, j'y ai droit

Il me dit que je suis belle et qu'il n'attendait que moi
Il me dit que je suis celle juste faite pour ses bras
Des mensonges et des bêtises qu'un enfant ne croirait pas
Mais les nuits sont mes églises et dans mes rêves j'y crois

Il me dit que je suis belle, je le vois courir vers moi
Ses mains me frôlent et m'entraînent, c'est beau comme au cinema
Plus de trahison, de peines, mon scénario n'en veut pas
Il me dit que je suis reine et pauvre de moi, j'y crois
Hmm, pauvre de moi, j'y crois.


Mirror lyrics:

Hmm, pauvre de moi, j'y crois.
Il me dit que je suis reine et pauvre de moi, j'y crois
Plus de trahison, de peines, mon scénario n'en veut pas
Ses mains me frôlent et m'entraînent, c'est beau comme au cinema
Il me dit que je suis belle, je le vois courir vers moi

Mais les nuits sont mes églises et dans mes rêves j'y crois
Des mensonges et des bêtises qu'un enfant ne croirait pas
Il me dit que je suis celle juste faite pour ses bras
Il me dit que je suis belle et qu'il n'attendait que moi

Tous les mots doux, les coups de sang, mais dans mes rêves, j'y ai droit
Y a-t-il un soir, un moment ou l'on se dit "c'est plus pour moi" ?
Ceux qui s'embrassent à perdre haleine
Eviter tous ceux qui marchent à deux
Apprendre à tourner les yeux devant les gens qui s'aiment
Cet air qui les rend transparents
Celui qu'ont les gens sur les boul'vards
Eviter les regards, prendre cet air absent

De toujours et de tendresse et je n'entends que sa voix
Il parle comme on caresse, de mots qui n'existent pas
Il me dit que je suis celle, juste faite pour ses bras
Il me dit que je suis belle et qu'il n'attendait que moi

Où quand les vies ne sont plus qu'ombres, restent nos rêves à inventer
Viennent les heures sombres où tout peut enfin s'allumer
Puis de dépit en défiance, on apprend à se résigner
Quand de peine en méfiance, de larmes en plus jamais
Plus une seconde passe, dans les vies d'uniformité
Et quand le temps se lasse de n'être que tué

(Jean-Jacques Goldman)


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IIl MMe DDit QQue JJe SSuis BBelle l e it ue e uis elle lI eM iDt uQe eJ uSis eBlle jl je xit aue ke zuis velle jIl jMe xDit aQue kJe zSuis vBelle
Ijl Mje Dxit Qaue Jke Szuis Bvelle 9l ke eit 2ue ie wuis gelle 9Il kMe eDit 2Que iJe wSuis gBelle I9l Mke Deit Q2ue Jie Swuis Bgelle ll ne fit wue me duis nelle
lIl nMe fDit wQue mJe dSuis nBelle Ill Mne Dfit Qwue Jme Sduis Bnelle ol Mee rit sue ne euis helle oIl M rDit sQue nJe eSuis hBelle Iol Me Drit Qsue Jne Seuis Bhelle
kl Ms cit 1ue he xuis Beelle kIl Mse cDit 1Que hJe xSuis Blle Ikl Mes Dcit Q1ue Jhe Sxuis Blele 8l M3 sit Quue ue auis Bslle 8Il M3e sDit Qe uJe aSuis Bselle
I8l Me3 Dsit Qeu Jue Sauis Beslle ul Mf Diit Qhe Jee Suuis B3lle uIl Mfe Dt Qhue J Sis B3elle Iul Mef Dti Quhe Je Sius Be3lle Mr Djt Q7e Js Shis Bflle
I Mre Djit Q7ue Jse Shuis Bfelle Il Mer Dijt Qu7e Jes Suhis Beflle Ik M4 D9t Qke J3 S7is Brlle M4e D9it Qkue J3e S7uis Brelle Ilk Me4 Di9t Quke Je3 Su7is Berlle
Io Md Dlt Qie Jf Skis B4lle Mde Dlit Qiue Jfe Skuis B4elle Ilo Med Dilt Quie Jef Sukis Be4lle Ip Mw Dot Q8e Jr Siis Bdlle Ipl Mwe Doit Q8ue Jre Siuis Bdelle
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