Michel Sardou
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Entrer dans un décor immense,
Entendre les battements de son cœur
Et là, changer l'indifférence
En rires et le silence en pleurs.
Un jour Don Juan en apparence,
Un fou au château d'Elseneur,
Un jour Lorenzo de Florence,
Verser son sang pour le souffleur.

Vivre et mourir en alternance,
Vivre et mourir en permanence.

Il y a des soirées légendaires
Où la vie se joue toute entière
Des triomphes absolus
Où après les saluts
On voit le décor à l'envers.
Il y a des tournées de galère,
Des couloirs, des villes sans lumière,
Mais le sourire perdu
De quelqu'un d'inconnu,
Alors le rideau reste ouvert.

Vivre et mourir en alternance,
Vivre et mourir en permanence.

Avoir un soir contre sa bouche
L'étoile, la meilleure, la première,
Pour tant de soirs où l'on se couche
Avec une autre partenaire.
Un jour, un valet d'insolence,
Souffrir comme l'a voulu l'auteur,
Se dire que pendant ces absences,
Les femmes ont "matinée" ailleurs.

Vivre et mourir en alternance,
Vivre et mourir en permanence.

Il y a des soirées singulières
Où l'on veut finir comme Molière,
Mais aussi des mardis
Et des jeudis maudits
Où l'on n'veut même pas d'un cimetière.
Il y a des idées passagères,
Des colères, des vœux, des prières,
Des échecs imprévus,
Etant bien entendu
Que le public est un mystère.

Vivre et mourir en alternance,
Vivre et mourir en permanence.

Entrer dans un décor immense,
Entendre les battements de son cœur,
Et là, changer l'indifférence
En rires et le silence en pleurs.

Vivre et mourir en alternance,
Porter un masque en permanence.
Vivre et mourir en alternance,
Vivre et mourir en permanence.


Mirror lyrics:

Vivre et mourir en permanence.
Vivre et mourir en alternance,
Porter un masque en permanence.
Vivre et mourir en alternance,

En rires et le silence en pleurs.
Et là, changer l'indifférence
Entendre les battements de son cœur,
Entrer dans un décor immense,

Vivre et mourir en permanence.
Vivre et mourir en alternance,

Que le public est un mystère.
Etant bien entendu
Des échecs imprévus,
Des colères, des vœux, des prières,
Il y a des idées passagères,
Où l'on n'veut même pas d'un cimetière.
Et des jeudis maudits
Mais aussi des mardis
Où l'on veut finir comme Molière,
Il y a des soirées singulières

Vivre et mourir en permanence.
Vivre et mourir en alternance,

Les femmes ont "matinée" ailleurs.
Se dire que pendant ces absences,
Souffrir comme l'a voulu l'auteur,
Un jour, un valet d'insolence,
Avec une autre partenaire.
Pour tant de soirs où l'on se couche
L'étoile, la meilleure, la première,
Avoir un soir contre sa bouche

Vivre et mourir en permanence.
Vivre et mourir en alternance,

Alors le rideau reste ouvert.
De quelqu'un d'inconnu,
Mais le sourire perdu
Des couloirs, des villes sans lumière,
Il y a des tournées de galère,
On voit le décor à l'envers.
Où après les saluts
Des triomphes absolus
Où la vie se joue toute entière
Il y a des soirées légendaires

Vivre et mourir en permanence.
Vivre et mourir en alternance,

Verser son sang pour le souffleur.
Un jour Lorenzo de Florence,
Un fou au château d'Elseneur,
Un jour Don Juan en apparence,
En rires et le silence en pleurs.
Et là, changer l'indifférence
Entendre les battements de son cœur
Entrer dans un décor immense,


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