Michel Sardou - 180426271.gif

Michel Sardou

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C'était mon quartier autrefois
Plus rien n'existe tout a changé
Même ma rue je ne la retrouve plus
On a dû reconstruire dessus.
Des fenêtres aveugles un peu partout
Derrière lesquelles on s'abrutit
Un verre de rouge et on oublie.

L'amour réduit à un seul geste.
Même pas l'amour, ce qu'il en reste.
Et puis le matin nettoie tout
Le grand balai des banlieusards
La bousculade sur les trottoirs
Et pas un mot n'est échangé

Y'a ces cités
Y'a ces cités maudites
Que tout l'monde veut quitter
Y'a ces cités
Et puis les villes hostiles
Hostiles et habitées
Ces villes sont des ruines neuves
Fardées comme des voitures volées.

Les solitudes on n'les compte plus
Elles s'agglutinent sous les feux rouges.
Quand un homme tombe, personne ne bouge.
On suit le mouvement des cohues.
Personne ne fait plus attention
Un homme assis avec son chien
Je passe devant et je ne vois rien.

Y'a ces cités
Y'a ces cités maudites
Que tout l'monde veut quitter
Y'a ces cités
Et puis les villes hostiles
Hostiles et habitées
Ces villes sont des ruines neuves
Fardées comme des voitures volées.

Y'a ces citées
Toutes ces cités maudites
Que tout l'monde veut quitter
Y'a ces cités
Et puis les villes hostiles
Hostiles et habitées
Ces villes sont des ruines neuves
Fardées comme des voitures volées.

Mirror lyrics:

Fardées comme des voitures volées.
Ces villes sont des ruines neuves
Hostiles et habitées
Et puis les villes hostiles
Y'a ces cités
Que tout l'monde veut quitter
Toutes ces cités maudites
Y'a ces citées

Fardées comme des voitures volées.
Ces villes sont des ruines neuves
Hostiles et habitées
Et puis les villes hostiles
Y'a ces cités
Que tout l'monde veut quitter
Y'a ces cités maudites
Y'a ces cités

Je passe devant et je ne vois rien.
Un homme assis avec son chien
Personne ne fait plus attention
On suit le mouvement des cohues.
Quand un homme tombe, personne ne bouge.
Elles s'agglutinent sous les feux rouges.
Les solitudes on n'les compte plus

Fardées comme des voitures volées.
Ces villes sont des ruines neuves
Hostiles et habitées
Et puis les villes hostiles
Y'a ces cités
Que tout l'monde veut quitter
Y'a ces cités maudites
Y'a ces cités

Et pas un mot n'est échangé
La bousculade sur les trottoirs
Le grand balai des banlieusards
Et puis le matin nettoie tout
Même pas l'amour, ce qu'il en reste.
L'amour réduit à un seul geste.

Un verre de rouge et on oublie.
Derrière lesquelles on s'abrutit
Des fenêtres aveugles un peu partout
On a dû reconstruire dessus.
Même ma rue je ne la retrouve plus
Plus rien n'existe tout a changé
C'était mon quartier autrefois

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