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C'est Toi
C'est toi. J'ai du mal à y croire. Est-ce un rêve ?
T'es là devant moi ce soir. Un voile se lève
Sur les images du passé,
Un passé presque oublié.
Le premier rendez-vous un soir au cinéma,
Un baiser timide échangé la première fois
Et puis dehors une pluie fine,
Nos deux cœurs qui tambourinent.
Toutes ces années à t'attendre,
C'était comme le feu sous la cendre,
C'était comme une ville endormie
La nuit,
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit
La nuit, la nuit, la nuit...
C'est toi et tout recommence, tout s'efface.
Ne parlons plus de l'absence. Reprends ta place.
Non n'aie pas peur. Y a personne.
Aucune autre, jamais personne.
Viens. Raconte-moi tes voyages, mon infidèle.
C'est toi toujours la même ou peut-être encore plus belle.
C'est drôle : dehors, la pluie fine,
Nos deux cœurs qui tambourinent.
Toutes ces années à t'attendre,
C'était comme le feu sous la cendre,
C'était comme une ville endormie
La nuit,
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit
La nuit.
Des nuits longues, des nuits blanches,
Des nuits tristes en avalanche
Et le manque d'amour qui grandit,
Le besoin d'amour qui grandit.
Toutes ces années à t'attendre,
C'était comme le feu sous la cendre,
C'était comme une ville endormie
La nuit.
C'était rien, nul, c'était vide.
C'était comme un désert aride.
Tu pleures, mais tout ça, c'est fini.
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Tu pleures, mais tout ça, c'est fini.
C'était comme un désert aride.
C'était rien, nul, c'était vide.
La nuit.
C'était comme une ville endormie
C'était comme le feu sous la cendre,
Toutes ces années à t'attendre,
Le besoin d'amour qui grandit.
Et le manque d'amour qui grandit,
Des nuits tristes en avalanche
Des nuits longues, des nuits blanches,
La nuit.
Et le manque d'amour qui grandit
Des nuits tristes en avalanche
Des nuits longues, des nuits blanches,
La nuit,
C'était comme une ville endormie
C'était comme le feu sous la cendre,
Toutes ces années à t'attendre,
Nos deux cœurs qui tambourinent.
C'est drôle : dehors, la pluie fine,
C'est toi toujours la même ou peut-être encore plus belle.
Viens. Raconte-moi tes voyages, mon infidèle.
Aucune autre, jamais personne.
Non n'aie pas peur. Y a personne.
Ne parlons plus de l'absence. Reprends ta place.
C'est toi et tout recommence, tout s'efface.
La nuit, la nuit, la nuit...
Et le manque d'amour qui grandit
Des nuits tristes en avalanche
Des nuits longues, des nuits blanches,
La nuit,
C'était comme une ville endormie
C'était comme le feu sous la cendre,
Toutes ces années à t'attendre,
Nos deux cœurs qui tambourinent.
Et puis dehors une pluie fine,
Un baiser timide échangé la première fois
Le premier rendez-vous un soir au cinéma,
Un passé presque oublié.
Sur les images du passé,
T'es là devant moi ce soir. Un voile se lève
C'est toi. J'ai du mal à y croire. Est-ce un rêve ?
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CC'est TToi |
| 'est oi |
| 'Cest oTi |
| f'est foi |
| fC'est fToi |
| Cf'est Tfoi |
| x'est 5oi |
| xC'est 5Toi |
| Cx'est T5oi |
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Cv'est Thoi |
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| C'edst Toli |
| C'wst Tii |
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| C'ewst Toii |
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