|
|
|
|
Le Mãºme
(Mayane Delem/Pierre Guimard)
Il manque d'air, quand tout semble figé
Il ne veut pas d'affaires, pour l'empêcher
De prendre le large quand bon lui semble
Il a choisi la marge, il aime quand ça change
Au gré du vent, de ses humeurs, il quitte cette vie pour voir l'ailleurs
Mais loin d'ici, tu restes le même, où qu'on aille, on ne change pas
C'est la même histoire qu'on traîne
Il voudrait vivre libre, mais tout seul il se gêne
À quoi sert de courir ? Cette vie en vaut la peine
Dans son monde, rien ne se construit
Il laisse quelques traces, là où il vit
Il a peur de lui mais des autres aussi
De tout il se lasse, sans cesse il fuit
Au gré du vent, de ses humeurs, il change de vie pour voir l'ailleurs
Mais loin d'ici, tu restes le même, où qu'on aille, on ne change pas
C'est la même histoire qu'on traîne
Il voudrait vivre libre mais tout seul il se gêne
À quoi sert de courir ? Cette vie en vaut la peine
Seul, au fond si seul, il erre dans son paradis fait d'enfer
La liberté se paie chère
Mais loin d'ici, on reste le même, où qu'on aille on ne change pas
C'est la même histoire qu'on traîne
On voudrait vivre libre mais tout seul on se gêne
À quoi sert de courir ? Cette vie en vaut la peine
Loin d'ici, on reste le même
C'est toujours la même histoire qu'on traîne
Loin d'ici, on reste le même
C'est toujours la même histoire qu'on traîne.
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
C'est toujours la même histoire qu'on traîne.
Loin d'ici, on reste le même
C'est toujours la même histoire qu'on traîne
Loin d'ici, on reste le même
À quoi sert de courir ? Cette vie en vaut la peine
On voudrait vivre libre mais tout seul on se gêne
C'est la même histoire qu'on traîne
Mais loin d'ici, on reste le même, où qu'on aille on ne change pas
La liberté se paie chère
Seul, au fond si seul, il erre dans son paradis fait d'enfer
À quoi sert de courir ? Cette vie en vaut la peine
Il voudrait vivre libre mais tout seul il se gêne
C'est la même histoire qu'on traîne
Mais loin d'ici, tu restes le même, où qu'on aille, on ne change pas
Au gré du vent, de ses humeurs, il change de vie pour voir l'ailleurs
De tout il se lasse, sans cesse il fuit
Il a peur de lui mais des autres aussi
Il laisse quelques traces, là où il vit
Dans son monde, rien ne se construit
À quoi sert de courir ? Cette vie en vaut la peine
Il voudrait vivre libre, mais tout seul il se gêne
C'est la même histoire qu'on traîne
Mais loin d'ici, tu restes le même, où qu'on aille, on ne change pas
Au gré du vent, de ses humeurs, il quitte cette vie pour voir l'ailleurs
Il a choisi la marge, il aime quand ça change
De prendre le large quand bon lui semble
Il ne veut pas d'affaires, pour l'empêcher
Il manque d'air, quand tout semble figé
(Mayane Delem/Pierre Guimard)
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
LLe MMãºme |
| e ãºme |
| eL ãMºme |
| ke jãºme |
| kLe jMãºme |
| Lke Mjãºme |
| oe kãºme |
| oLe kMãºme |
| Loe Mkãºme |
| pe nãºme |
| pLe nMãºme |
|
Lpe Mnãºme |
| Lee Mããºme |
| L Mºme |
| Le Mºãme |
| Ls M㺺me |
| Lse Mãme |
| Les Mãmºe |
| L3 Mãºmme |
| L3e Mãºe |
| Le3 Mãºem |
| Lf Mãºje |
|
Lfe Mãºjme |
| Lef Mãºmje |
| Lr Mãºke |
| Lre Mãºkme |
| Ler Mãºmke |
|
|
|
|
|
|
|
|
|