Laurent Voulzy - 180426271.gif

Laurent Voulzy

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Au fond de l'estuaire, dans la zone portuaire
Là où rien ne dure
Un quai sans lumière vers les containers
Pleurent les filles au coeur pur
Elles se désespèrent pour des loups solitaires
Que rien ne peut retenir
Est-ce par une peur d'elles qu'ils sont infidèles
Et veulent toujours partir, toujours

Oh petite, les mots d'amour que vous me dites
Tombent dans l'eau grise que le gasoil irise
Oh frimousse, je te regarde et j'ai la frousse
Allez va voir ailleurs, j'ai le nez dans le moteur du Carib Islander

Sous les grues dans le noir traîne encore l'histoire
De John, Sally et John
Mais en zone portuaire tout est éphémère
Et John bien sûr abandonne
Ni coeur, ni chaînes, y a rien qui retienne
Les caisses et les bois de teck
Ces matières premières repartent en haute mer
Et les amours avec

C'est pourquoi oh petite, les mots d'amour que vous me dites
Tombent dans l'eau grise que le gasoil irise
Oh frimousse, je te regarde et j'ai la frousse
Allez va voir ailleurs, j'ai le nez dans le moteur du Carib Islander

Le jour au diesel, le soir
Dans le bleu cruel des bars

Et toujours lLes filles souffriront d'amour
Du coeur si léger oh si léger les hommes
Oh frimousse, naviguer sur ta peau douce
Je serai à cinq heures sur le pont supérieur du Carib Islander
Cinq heures.

Mirror lyrics:

Cinq heures.
Je serai à cinq heures sur le pont supérieur du Carib Islander
Oh frimousse, naviguer sur ta peau douce
Du coeur si léger oh si léger les hommes
Et toujours lLes filles souffriront d'amour

Dans le bleu cruel des bars
Le jour au diesel, le soir

Allez va voir ailleurs, j'ai le nez dans le moteur du Carib Islander
Oh frimousse, je te regarde et j'ai la frousse
Tombent dans l'eau grise que le gasoil irise
C'est pourquoi oh petite, les mots d'amour que vous me dites

Et les amours avec
Ces matières premières repartent en haute mer
Les caisses et les bois de teck
Ni coeur, ni chaînes, y a rien qui retienne
Et John bien sûr abandonne
Mais en zone portuaire tout est éphémère
De John, Sally et John
Sous les grues dans le noir traîne encore l'histoire

Allez va voir ailleurs, j'ai le nez dans le moteur du Carib Islander
Oh frimousse, je te regarde et j'ai la frousse
Tombent dans l'eau grise que le gasoil irise
Oh petite, les mots d'amour que vous me dites

Et veulent toujours partir, toujours
Est-ce par une peur d'elles qu'ils sont infidèles
Que rien ne peut retenir
Elles se désespèrent pour des loups solitaires
Pleurent les filles au coeur pur
Un quai sans lumière vers les containers
Là où rien ne dure
Au fond de l'estuaire, dans la zone portuaire

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