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Aurã¼æ’ã¢â©lia

[Poetry : Arnault de Stael]

[Music : Romarik d'Arvycendres]

L'édifice s'effondre

Et le ciel me condamne

A rejoindre la tombe

Que mes rêvent profanent

Je sombre dans l'étreinte enivrante du soir

Comme on noie dans l'absinthe le reflet d'un regard

Les flots lourds de la Seine

Accompagnent mes pas

Et le chant des sirènes

Me fait glisser vers toi

Elle s'élève lascive

Caressant les nuages

Puis d'un geste dérive

Pour éviter l'orage

Qu'elle amorce en moi

Réalité futile

Ã" délivre-moi

De l'angoisse et du vide

Le rêve s'entrelace àla vie

Ma vie s'entrelace aux rêves

Souffrance, épargne-moi

Ã" mon Amour

Que la mort soit douce, éternelle

Emmène-moi

Sous la nuit d'argent

Descend encor au plus profond

Ou même les nuits se fanent

Afin que d'un rayon diaphane

Au sein du néant sur ton front

S'éclaire un nouveau lendemain

Brûle tes larmes divin poète

La peine sera pour ceux qui restent

Ouvre ton âme et prend ma main

Souffrance, épargne-moi

Ã" mon Amour

Emmène-moi

Sous la nuit d'argent

Viens !

Eurydice, un soleil s'illumine

Ténèbres...

Ã" Béatrix, guide mes pas

Freya, divine reine

Je viens vers toi

Je viens vers toi

Aurélia

"Ã" mort ! Où est la victoire ?"


Mirror lyrics:

"Ã" mort ! Où est la victoire ?"

Aurélia

Je viens vers toi

Je viens vers toi

Freya, divine reine

Ã" Béatrix, guide mes pas

Ténèbres...

Eurydice, un soleil s'illumine

Viens !

Sous la nuit d'argent

Emmène-moi

Ã" mon Amour

Souffrance, épargne-moi

Ouvre ton âme et prend ma main

La peine sera pour ceux qui restent

Brûle tes larmes divin poète

S'éclaire un nouveau lendemain

Au sein du néant sur ton front

Afin que d'un rayon diaphane

Ou même les nuits se fanent

Descend encor au plus profond

Sous la nuit d'argent

Emmène-moi

Que la mort soit douce, éternelle

Ã" mon Amour

Souffrance, épargne-moi

Ma vie s'entrelace aux rêves

Le rêve s'entrelace àla vie

De l'angoisse et du vide

Ã" délivre-moi

Réalité futile

Qu'elle amorce en moi

Pour éviter l'orage

Puis d'un geste dérive

Caressant les nuages

Elle s'élève lascive

Me fait glisser vers toi

Et le chant des sirènes

Accompagnent mes pas

Les flots lourds de la Seine

Comme on noie dans l'absinthe le reflet d'un regard

Je sombre dans l'étreinte enivrante du soir

Que mes rêvent profanent

A rejoindre la tombe

Et le ciel me condamne

L'édifice s'effondre

[Music : Romarik d'Arvycendres]

[Poetry : Arnault de Stael]


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xAurã¼æ’ã¢â©lia Axurã¼æ’ã¢â©lia Auurã¼æ’ã¢â©lia Arã¼æ’ã¢â©lia Aruã¼æ’ã¢â©lia Ahrã¼æ’ã¢â©lia Ahurã¼æ’ã¢â©lia Auhrã¼æ’ã¢â©lia
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Au4ã¼æ’ã¢â©lia Au4rã¼æ’ã¢â©lia Aur4ã¼æ’ã¢â©lia Augã¼æ’ã¢â©lia Augrã¼æ’ã¢â©lia Aurgã¼æ’ã¢â©lia Autã¼æ’ã¢â©lia Autrã¼æ’ã¢â©lia
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