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Aoã»t Put
Week-end du quinze août, raz-d'marée migratoire
Ruée dans les embouts, plongée kamikaze dans les gaz
Toxiques, avalanche de scoops, avalanche de scoops
Alerte orange, alerte rouge, c'est la pagaille, le foutoir
La panique, le carnage, la cata, l'hécatombe, le souk
En attendant qu'ça s'tasse, moi, Jacko de Pantin
Les tongs dans la piscine, j'me récure le citron
En suçant les glaçons de mon bourbon-grenadine
Et puis j'me casse, Ã fond la caisse
Évacuer mes toxines et liquider mon stress
Au café des remparts de Gourdon
Gourdon, Alpes-Maritimes
Dont le donjon culmine à deux mille cinq cents pieds
Du niveau de la mer Méditerranée
C'est le mois d'août, le mois où moi, j'doute
De toi, de moi, de nous, le mois où moi, j doute de tout
Moi l'doute, le mois où moi, j'doute de l'amour sold-out
De l'amour black-out, de l'amour out put
Soleil de plomb, parking bondé, déflagrations caniculaires
Après dix tours de giratoire, j'taille un créneau en marche arrière
Entre deux cars teutons vomissant leur croisière
De grabataires déshydratés
Et puis, attaqué par un frelon, je gicle de mon van en panne de clim'
Et me rétame de tout mon long, en plein cagnard
Au bord du malaise dans une flaque de goudron
Où deux lézards obèses baisent, peinards, dans la fournaise
Au pied des remparts de Gourdon
Gourdon, Alpes-Maritimes
Dont le donjon culmine à deux mille cinq cents pieds
Du niveau de la mer Méditerranée
C'est le mois d'août, le mois où moi, j'doute
De toi, de moi, de nous, le mois où moi, j doute de tout
Moi l'doute, le mois où moi, j'doute de l'amour sold-out
De l'amour black-out, de l'amour out put
Come on, come on, com one, come on ! Cris de folie
Et puis, soudain, soudain, désinhibé du vertige et de la peur du vide
J'enjambe le garde-fou, et, déployant mes bras
Comme l'aigle noir ses ailes, je m'élance
Dans les courants limpides des remparts de Gourdon
Vers les côtes armoricaines où ma mouette échouée
Sur l'étrave éventrée d'un tanker géant attend, solitaire
Que je l'arrache à ses pensées, engluées dans la marée
De ses idées noires, de ses idées noires
C'est le mois d'août, le mois où moi, j'doute de toi, de moi, de nous
Le mois où moi, j'doute de tout, ce mois d'été qui, sans nul doute
Eut été, pour nous, si doux, si on n' s'était mis, tout à coup
À douter de l'amour sold-out, douter de l'amour black-out
À douter de l'amour out put.
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À douter de l'amour out put.
À douter de l'amour sold-out, douter de l'amour black-out
Eut été, pour nous, si doux, si on n' s'était mis, tout à coup
Le mois où moi, j'doute de tout, ce mois d'été qui, sans nul doute
C'est le mois d'août, le mois où moi, j'doute de toi, de moi, de nous
De ses idées noires, de ses idées noires
Que je l'arrache à ses pensées, engluées dans la marée
Sur l'étrave éventrée d'un tanker géant attend, solitaire
Vers les côtes armoricaines où ma mouette échouée
Dans les courants limpides des remparts de Gourdon
Comme l'aigle noir ses ailes, je m'élance
J'enjambe le garde-fou, et, déployant mes bras
Et puis, soudain, soudain, désinhibé du vertige et de la peur du vide
Come on, come on, com one, come on ! Cris de folie
De l'amour black-out, de l'amour out put
Moi l'doute, le mois où moi, j'doute de l'amour sold-out
De toi, de moi, de nous, le mois où moi, j doute de tout
C'est le mois d'août, le mois où moi, j'doute
Du niveau de la mer Méditerranée
Dont le donjon culmine à deux mille cinq cents pieds
Gourdon, Alpes-Maritimes
Au pied des remparts de Gourdon
Où deux lézards obèses baisent, peinards, dans la fournaise
Au bord du malaise dans une flaque de goudron
Et me rétame de tout mon long, en plein cagnard
Et puis, attaqué par un frelon, je gicle de mon van en panne de clim'
De grabataires déshydratés
Entre deux cars teutons vomissant leur croisière
Après dix tours de giratoire, j'taille un créneau en marche arrière
Soleil de plomb, parking bondé, déflagrations caniculaires
De l'amour black-out, de l'amour out put
Moi l'doute, le mois où moi, j'doute de l'amour sold-out
De toi, de moi, de nous, le mois où moi, j doute de tout
C'est le mois d'août, le mois où moi, j'doute
Du niveau de la mer Méditerranée
Dont le donjon culmine à deux mille cinq cents pieds
Gourdon, Alpes-Maritimes
Au café des remparts de Gourdon
Évacuer mes toxines et liquider mon stress
Et puis j'me casse, Ã fond la caisse
En suçant les glaçons de mon bourbon-grenadine
Les tongs dans la piscine, j'me récure le citron
En attendant qu'ça s'tasse, moi, Jacko de Pantin
La panique, le carnage, la cata, l'hécatombe, le souk
Alerte orange, alerte rouge, c'est la pagaille, le foutoir
Toxiques, avalanche de scoops, avalanche de scoops
Ruée dans les embouts, plongée kamikaze dans les gaz
Week-end du quinze août, raz-d'marée migratoire
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| Aolã»t Pujt |
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