Isabelle Boulay
Rã©pondez Moi

Je vis dans une maison sans balcon, sans toiture
Où y'a même pas d'abeilles sur les pots de confiture
Y'a même pas d'oiseaux, même pas la nature
C'est même pas une maison

J'ai laissé en passant quelques mots sur le mur
Du couloir qui descend au parking des voitures
Quelques mots pour les grands
Même pas des injures
Si quelqu'un les entend

Répondez-moi {x2}

Mon coeur a peur de s'emmuré entre vos tours de glace
Condamné au bruit des camions qui passent
Lui qui rêvait de champs d'étoiles, de colliers de jonquilles
Pour accrocher aux épaules des filles

Mais le matin vous entraîne en courant dans vos habitudes
Et le soir, votre forêt d'antennes est branchée sur la solitude
Et que brille la lune pleine
Que souffle le vent du sud
Vous n'entendez pas

Et moi, je vois passer vos chiens superbes aux yeux de glace
Portés sur des coussins que des maîtres embrassent
Et pour s'effleurer la main, il faut des mots de passe
Pour s'effleurer la main

Répondez-moi {x2}

Mon coeur a peur de s'enliser en aussi peu d'espace
Condamné au bruit des camions qui passent
Lui qui rêvait de champs d'étoiles et de pluie de jonquilles
Pour s'abriter aux épaules des filles

Mais la dernière des fées cherche sa baguette magique
Mon ami, le ruisseau dort dans une bouteille en plastique
Les saisons se sont arrêtées aux pieds des arbres synthétiques
Il n'y a plus que moi

Et moi, je vis dans ma maison sans balcon, sans toiture
Où y'a même pas d'abeilles sur les pots de confiture
Y'a même pas d'oiseaux, même pas la nature
C'est même pas une maison


Mirror lyrics:

C'est même pas une maison
Y'a même pas d'oiseaux, même pas la nature
Où y'a même pas d'abeilles sur les pots de confiture
Et moi, je vis dans ma maison sans balcon, sans toiture

Il n'y a plus que moi
Les saisons se sont arrêtées aux pieds des arbres synthétiques
Mon ami, le ruisseau dort dans une bouteille en plastique
Mais la dernière des fées cherche sa baguette magique

Pour s'abriter aux épaules des filles
Lui qui rêvait de champs d'étoiles et de pluie de jonquilles
Condamné au bruit des camions qui passent
Mon coeur a peur de s'enliser en aussi peu d'espace

Répondez-moi {x2}

Pour s'effleurer la main
Et pour s'effleurer la main, il faut des mots de passe
Portés sur des coussins que des maîtres embrassent
Et moi, je vois passer vos chiens superbes aux yeux de glace

Vous n'entendez pas
Que souffle le vent du sud
Et que brille la lune pleine
Et le soir, votre forêt d'antennes est branchée sur la solitude
Mais le matin vous entraîne en courant dans vos habitudes

Pour accrocher aux épaules des filles
Lui qui rêvait de champs d'étoiles, de colliers de jonquilles
Condamné au bruit des camions qui passent
Mon coeur a peur de s'emmuré entre vos tours de glace

Répondez-moi {x2}

Si quelqu'un les entend
Même pas des injures
Quelques mots pour les grands
Du couloir qui descend au parking des voitures
J'ai laissé en passant quelques mots sur le mur

C'est même pas une maison
Y'a même pas d'oiseaux, même pas la nature
Où y'a même pas d'abeilles sur les pots de confiture
Je vis dans une maison sans balcon, sans toiture


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RRã©pondez MMoi ã©pondez oi ãR©pondez oMi dã©pondez joi dRã©pondez jMoi Rdã©pondez Mjoi 4ã©pondez koi 4Rã©pondez kMoi R4ã©pondez Mkoi
gã©pondez noi gRã©pondez nMoi Rgã©pondez Mnoi tã©pondez Mooi tRã©pondez Mi Rtã©pondez Mio 5ã©pondez Mki 5Rã©pondez R5ã©pondez Moki
fã©pondez M9i fRã©pondez M9oi Rfã©pondez Mo9i eã©pondez M0i eRã©pondez M0oi Reã©pondez Mo0i Rãã©pondez Mli R©pondez Mloi R©ãpondez Moli
Rã©©pondez Mii Rãpondez Mioi Rãp©ondez Moii Rã©ppondez Rã©ondez Mo Rã©opndez Moi Rã©0ondez Moj Rã©0pondez Moji Rã©p0ondez Moij
Rã©londez Mo9 Rã©lpondez Rã©plondez Moi9 Rã©oondez Mol Rã©opondez Rã©poondez Moil Moo Rã©pndez Rã©pnodez Moio
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