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L'ãžle De Nous
Loin de toi mon coeur apprend à battre,
Doucement
Un vent calme caresse des harpes,
En passant
Et j'entends dans le silence de ma vie
L'océan qui me sépare de l'oubli
Il fait si beau,
Presque trop
Sur la lande aux oiseaux
Tout ici a des couleurs d'exil,
De regrets
Qui s'enfuit dans la lumière fragile,
Des marais
Et je marche sur nos traces dans l'automne
Sur des chemins où ne passe plus personne
Alors je parle aux roseaux,
Sur la lande aux oiseaux
Sur chaque pierre,
Nos âmes comme du lierre,
S'enlacent pour toujours, toujours
Sur chaque banc,
Un souvenir m'attend,
Au rendez-vous
Mais c'est a peine,
Si je sais d'où je t'aime
A cent mille lieues de tout, de tout
Ce bout de terre,
Si solitaire,
C'est l'île de nous
Loin de toi, mon corps apprend a vivre,
Autrement
Des étoiles dansent dans le vide
Hors du temps
Là où nos voix, dans les dunes s'envoûtaient
Il n'y a plus que les brunes d'éternité
Alors je parle aux roseaux,
Sur la lande aux oiseaux
Sur chaque pierre,
Nos âmes comme du lierre,
S'enlacent pour toujours, toujours
Sous chaque pont,
Nos deux ombres s'en vont
Au fil des jours
Comme les nuages,
Il y a des voyages
Que ne font que les fous, les fous
Et je t'appelle
Du fond du ciel
De l'île de nous
Et je t'attends
Au bout du temps,
Sur l'île de nous
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Sur l'île de nous
Au bout du temps,
Et je t'attends
De l'île de nous
Du fond du ciel
Et je t'appelle
Que ne font que les fous, les fous
Il y a des voyages
Comme les nuages,
Au fil des jours
Nos deux ombres s'en vont
Sous chaque pont,
S'enlacent pour toujours, toujours
Nos âmes comme du lierre,
Sur chaque pierre,
Sur la lande aux oiseaux
Alors je parle aux roseaux,
Il n'y a plus que les brunes d'éternité
Là où nos voix, dans les dunes s'envoûtaient
Hors du temps
Des étoiles dansent dans le vide
Autrement
Loin de toi, mon corps apprend a vivre,
C'est l'île de nous
Si solitaire,
Ce bout de terre,
A cent mille lieues de tout, de tout
Si je sais d'où je t'aime
Mais c'est a peine,
Au rendez-vous
Un souvenir m'attend,
Sur chaque banc,
S'enlacent pour toujours, toujours
Nos âmes comme du lierre,
Sur chaque pierre,
Sur la lande aux oiseaux
Alors je parle aux roseaux,
Sur des chemins où ne passe plus personne
Et je marche sur nos traces dans l'automne
Des marais
Qui s'enfuit dans la lumière fragile,
De regrets
Tout ici a des couleurs d'exil,
Sur la lande aux oiseaux
Presque trop
Il fait si beau,
L'océan qui me sépare de l'oubli
Et j'entends dans le silence de ma vie
En passant
Un vent calme caresse des harpes,
Doucement
Loin de toi mon coeur apprend à battre,
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| LL'ãžle DDe NNous |
| 'ãžle e ous |
| 'Lãžle eD oNus |
| k'ãžle xe mous |
| kL'ãžle xDe mNous |
| Lk'ãžle Dxe Nmous |
| o'ãžle ee hous |
| oL'ãžle eDe hNous |
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| Lo'ãžle Dee Nhous |
| p'ãžle fe jous |
| pL'ãžle fDe jNous |
| Lp'ãžle Dfe Njous |
| L''ãžle re bous |
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