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Le Dãƒâ©part
J'ai passé la porte quand tu dormais encore.
J'ai laissé les clefs sur le buffet àl'entrée.
J'ai ramassé mes affaires qui traînaient encore çàet là, babe.
Je pense avoir laissé que mes regrets.
Tout àl'heure par la force des choses (tu chercheras)
Tu chercheras àton réveil les causes
Un départ imprévu dont tu ne sais pas encore ni le sens ni les torts
En découvrant ces mots sur un papier
Tu m'insuffles la force de t'avouer enfin
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Et si mes peurs n'étaient que passager
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
Comme une reine, tu m'a porté, tu m'a bordé, tu m'a donné
Plus qu'une vie d'amour, un siècle entier
Mais je n'serai jamais sans mesure d'en faire autant
Est-ce que tu comprends? j'ai préféré te l'écrire, te le dire
Mais ne surtout plus avoir àte mentir, me mentir
Me laisser, nous détruire, te laisser me haïr
J'étouffe...
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Et si mes peurs n'étaient que passager
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
Je laisse mon coeur sur la porte, je laisse mon coeur sous la porte
Et ces mots sous le porche, et ces mots sous le porche
Mon amour ne me déteste, mon amour ne me déteste
Un jour tu comprendras, un jour tu comprendras
Un jour tu m'oublieras, un jour tu m'oublieras
Un jour tu pardonneras, un jour tu pardonneras
Même si pour toi aujourd'hui
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Et si mes peurs n'étaient que passager
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Et si mes peurs n'étaient que passager
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
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Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Et si mes peurs n'étaient que passager
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Et si mes peurs n'étaient que passager
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
Même si pour toi aujourd'hui
Un jour tu pardonneras, un jour tu pardonneras
Un jour tu m'oublieras, un jour tu m'oublieras
Un jour tu comprendras, un jour tu comprendras
Mon amour ne me déteste, mon amour ne me déteste
Et ces mots sous le porche, et ces mots sous le porche
Je laisse mon coeur sur la porte, je laisse mon coeur sous la porte
Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Et si mes peurs n'étaient que passager
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
J'étouffe...
Me laisser, nous détruire, te laisser me haïr
Mais ne surtout plus avoir àte mentir, me mentir
Est-ce que tu comprends? j'ai préféré te l'écrire, te le dire
Mais je n'serai jamais sans mesure d'en faire autant
Plus qu'une vie d'amour, un siècle entier
Comme une reine, tu m'a porté, tu m'a bordé, tu m'a donné
Mais j'ai pesé le contre ici, le pour ailleurs, j'ai peur de n'plus savoir aimer
J'ai envisagé tous nos faux rires, nos erreurs, sans jamais t'accuser
Et si mes peurs n'étaient que passager
Mais t'aller faire comme si mes doutes
Puis j'ai tort, puis j'ai peur puis j'ai pensé
Tu m'insuffles la force de t'avouer enfin
En découvrant ces mots sur un papier
Un départ imprévu dont tu ne sais pas encore ni le sens ni les torts
Tu chercheras àton réveil les causes
Tout àl'heure par la force des choses (tu chercheras)
Je pense avoir laissé que mes regrets.
J'ai ramassé mes affaires qui traînaient encore çàet là, babe.
J'ai laissé les clefs sur le buffet àl'entrée.
J'ai passé la porte quand tu dormais encore.
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LLe DDãƒâ©part |
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