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Mon Pă¸re ă Moi
(Louis Amade/Gilbert BĂŠcaud)
Je le revois assis sur son vieux banc de pierre
Roulant sa cigarette au bout de ses dix doigts.
Il Êtait simple et bon et il Êtait mon père
Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
Il ĂŠtait menuisier du plus petit village
Qu'on rencontre lĂ -bas avant le pays haut.
Il m'enseignait la vie comme on construit sa table
Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
Je sais qu'il avait fait des bĂŞtises.
Certains soirs, il parlait du Moyen-Orient.
Il avait mĂŞme fait la valise, mais il revint pour moi en pleurant.
Il savait fabriquer des armoires aux lavandes
OĂš les jeunes mariĂŠs garderaient leurs draps blancs
Et oĂš les vieux mariĂŠs rangeraient leur lĂŠgende
Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
Je sais qu'il avait fait des bĂŞtises.
Certains soirs, il parlait du Moyen-Orient.
Il avait mĂŞme fait la valise, mais il revint pour moi en pleurant.
Je le revois debout tel qu'il fut et qu'il reste
Derrière l'Êtabli de sa pauvre maison
Avec pour tout galon des copeaux sur sa veste
Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
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Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
Avec pour tout galon des copeaux sur sa veste
Derrière l'Êtabli de sa pauvre maison
Je le revois debout tel qu'il fut et qu'il reste
Il avait mĂŞme fait la valise, mais il revint pour moi en pleurant.
Certains soirs, il parlait du Moyen-Orient.
Je sais qu'il avait fait des bĂŞtises.
Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
Et oĂš les vieux mariĂŠs rangeraient leur lĂŠgende
OĂš les jeunes mariĂŠs garderaient leurs draps blancs
Il savait fabriquer des armoires aux lavandes
Il avait mĂŞme fait la valise, mais il revint pour moi en pleurant.
Certains soirs, il parlait du Moyen-Orient.
Je sais qu'il avait fait des bĂŞtises.
Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
Il m'enseignait la vie comme on construit sa table
Qu'on rencontre lĂ -bas avant le pays haut.
Il ĂŠtait menuisier du plus petit village
Mon père, mon père, mon père, mon père, mon père... à moi.
Il Êtait simple et bon et il Êtait mon père
Roulant sa cigarette au bout de ses dix doigts.
Je le revois assis sur son vieux banc de pierre
(Louis Amade/Gilbert BĂŠcaud)
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MMon PPă¸re ăă MMoi |
| on ă¸re oi |
| oMn ăP¸re ă oMi |
| jon 0ă¸re ă joi |
| jMon 0Pă¸re ă jMoi |
| Mjon P0ă¸re ă Mjoi |
| kon lă¸re koi |
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kMon lPă¸re kMoi |
| Mkon Plă¸re Mkoi |
| non oă¸re noi |
| nMon oPă¸re nMoi |
| Mnon Poă¸re Mnoi |
| Moon Păă¸re Mooi |
| Mn P¸re Mi |
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Mno P¸ăre Mio |
| Mkn P㸸re Mki |
| Păre |
| Mokn Păr¸e Moki |
| M9n Pă¸rre M9i |
| M9on Pă¸e M9oi |
| Mo9n Pă¸er Mo9i |
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M0n Pă¸de M0i |
| M0on Pă¸dre M0oi |
| Mo0n Pă¸rde Mo0i |
| Mln Pă¸4e Mli |
| Mlon Pă¸4re Mloi |
| Moln Pă¸r4e Moli |
| Min Pă¸ge Mii |
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Mion Pă¸gre Mioi |
| Moin Pă¸rge Moii |
| Monn Pă¸te |
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