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Vivre, Vivre
(François Feldman/Jean-Marie Moreau)
Les feuilles se désespèrent aux arbres de l'hiver
Et les oiseaux s'élancent, là-haut, dans le silence.
Tu vois : on tue le temps qui meurt à chaque instant
Emporté par le vent, doucement.
Nos rêves s'évaporent au fond des corridors.
De la rouille et de l'eau aux grilles des châteaux.
Même les rochers sauvages s'effritent sur les rivages.
On a moins de courage, on est sage.
Il faut vivre, vivre, plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre, debout au milieu des glaces.
Ne plus s'endormir dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre, se réveiller dans la nuit.
Il faut vivre, vivre avant de perdre la vie.
Que l'amour se lève jusqu'au dernier rêve.
Mais chacun roule sa pierre, inlassable galère
Sur une terre aride, au pied des pyramides.
Regarde les couleurs : elles passent avec les heures.
Le feu perd ses ardeurs, ça fait peur
Et puis ça continue, le cœur à moitié nu.
On couvre de bijoux une femme à genoux
Sans regarder ses yeux qui nous prennent pour un dieu.
Même si on était vieux, ce s'rait mieux.
Il faut vivre, vivre, plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre, debout au milieu des glaces.
Ne plus s'endormir dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre, se réveiller dans la nuit.
Il faut vivre, vivre, avant de perdre la vie.
Que l'amour se lève jusqu'au dernier rêve.
Il faut vivre, vivre plus fort que les jours qui passent.
Il faut vivre, vivre, debout au milieu des glaces.
Ne plus s'endormir dans les souvenirs, il faut vivre, vivre.
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Ne plus s'endormir dans les souvenirs, il faut vivre, vivre.
Il faut vivre, vivre, debout au milieu des glaces.
Il faut vivre, vivre plus fort que les jours qui passent.
Que l'amour se lève jusqu'au dernier rêve.
Il faut vivre, vivre, avant de perdre la vie.
Il faut vivre, vivre, se réveiller dans la nuit.
Ne plus s'endormir dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre, debout au milieu des glaces.
Il faut vivre, vivre, plus fort que les jours qui passent.
Même si on était vieux, ce s'rait mieux.
Sans regarder ses yeux qui nous prennent pour un dieu.
On couvre de bijoux une femme à genoux
Et puis ça continue, le cœur à moitié nu.
Le feu perd ses ardeurs, ça fait peur
Regarde les couleurs : elles passent avec les heures.
Sur une terre aride, au pied des pyramides.
Mais chacun roule sa pierre, inlassable galère
Que l'amour se lève jusqu'au dernier rêve.
Il faut vivre, vivre avant de perdre la vie.
Il faut vivre, vivre, se réveiller dans la nuit.
Ne plus s'endormir dans les souvenirs.
Il faut vivre, vivre, debout au milieu des glaces.
Il faut vivre, vivre, plus fort que les jours qui passent.
On a moins de courage, on est sage.
Même les rochers sauvages s'effritent sur les rivages.
De la rouille et de l'eau aux grilles des châteaux.
Nos rêves s'évaporent au fond des corridors.
Emporté par le vent, doucement.
Tu vois : on tue le temps qui meurt à chaque instant
Et les oiseaux s'élancent, là-haut, dans le silence.
Les feuilles se désespèrent aux arbres de l'hiver
(François Feldman/Jean-Marie Moreau)
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VVivre, VVivre |
| ivre, ivre |
| iVvre, iVvre |
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| bVivre, bVivre |
| Vbivre, Vbivre |
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| cVivre, cVivre |
| Vcivre, Vcivre |
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givre, givre |
| gVivre, gVivre |
| Vgivre, Vgivre |
| fivre, fivre |
| fVivre, fVivre |
| Vfivre, Vfivre |
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| Vvre, Vvre |
| Vvire, Vvire |
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Vjvre, Vjvre |
| Vjivre, Vjivre |
| Vijvre, Vijvre |
| V9vre, V9vre |
| V9ivre, V9ivre |
| Vi9vre, Vi9vre |
| Vlvre, Vlvre |
| Vlivre, Vlivre |
| Vilvre, Vilvre |
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Vovre, Vovre |
| Voivre, Voivre |
| Viovre, Viovre |
| Vkvre, Vkvre |
| Vkivre, Vkivre |
| Vikvre, Vikvre |
| V8vre, V8vre |
| V8ivre, V8ivre |
| Vi8vre, Vi8vre |
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Vuvre, Vuvre |
| Vuivre, Vuivre |
| Viuvre, Viuvre |
| Vivvre, Vivvre |
| Vire, Vire |
| Virve, Virve |
| Vibre, Vibre |
| Vibvre, Vibvre |
| Vivbre, Vivbre |
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Vicre, Vicre |
| Vicvre, Vicvre |
| Vivcre, Vivcre |
| Vigre, Vigre |
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