Francis Cabrel
Les Passantes

Je veux dédier ce poème,
A toutes les femmes qu'on aime,
Pendant quelques instants secrets,
A celles qu'on connaît à peine,
Qu'un destin différent entraîne,
Et qu'on ne retrouve jamais.

A celles qu'on voit apparaître,
Une seconde à sa fenêtre,
Et qui, presque, s'évanouit,
Mais dont la svelte silhouette
Est si gracieuse et fluette
Qu'on en demeure épanoui.

A la compagne de voyage,
Dont les yeux, charmant paysage,
Font paraître court le chemin;
Qu'on est seul peut-être à comprendre,
Et qu'on laisse pourtant descendre
Sans avoir effleuré sa main.

A celles qui sont déjà prises,
Et qui, vivant des heures grises,
Près d'un être trop différent,
Vous ont, inutile folie,
Laissé voir la mélancolie
D'un avenir désespérant.

Chères images aperçues,
Espérances d'un jour déçues,
Vous serez dans l'oubli demain;
Pour peu que le bonheur survienne,
Il est rare qu'on se souvienne,
Des épisodes du chemin.

Mais si l'on à manqué sa vie,
On songe; avec un peu d'envie
A tous ces bonheurs entrevus,
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre,
Aux cœurs qui doivent vous attendre,
Aux yeux qu'on n'a jamais revus.

Alors, aux soirs de lassitude,
Tout en peuplant sa solitude
Des fantômes du souvenir,
On pleure les lèvres absentes
De toutes ces belles passantes
Que l'on n'a pas su retenir.


Mirror lyrics:

Que l'on n'a pas su retenir.
De toutes ces belles passantes
On pleure les lèvres absentes
Des fantômes du souvenir,
Tout en peuplant sa solitude
Alors, aux soirs de lassitude,

Aux yeux qu'on n'a jamais revus.
Aux cœurs qui doivent vous attendre,
Aux baisers qu'on n'osa pas prendre,
A tous ces bonheurs entrevus,
On songe; avec un peu d'envie
Mais si l'on à manqué sa vie,

Des épisodes du chemin.
Il est rare qu'on se souvienne,
Pour peu que le bonheur survienne,
Vous serez dans l'oubli demain;
Espérances d'un jour déçues,
Chères images aperçues,

D'un avenir désespérant.
Laissé voir la mélancolie
Vous ont, inutile folie,
Près d'un être trop différent,
Et qui, vivant des heures grises,
A celles qui sont déjà prises,

Sans avoir effleuré sa main.
Et qu'on laisse pourtant descendre
Qu'on est seul peut-être à comprendre,
Font paraître court le chemin;
Dont les yeux, charmant paysage,
A la compagne de voyage,

Qu'on en demeure épanoui.
Est si gracieuse et fluette
Mais dont la svelte silhouette
Et qui, presque, s'évanouit,
Une seconde à sa fenêtre,
A celles qu'on voit apparaître,

Et qu'on ne retrouve jamais.
Qu'un destin différent entraîne,
A celles qu'on connaît à peine,
Pendant quelques instants secrets,
A toutes les femmes qu'on aime,
Je veux dédier ce poème,


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