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Mon Pays
Je ne connais pas ce soleil qui brûle les dunes sans fin
Je ne connais pas d'autres terres que celle qui m'a tendu la main
Et si un jour je pars d'ici, que je traverse le désert
Pour aller voir d'où vient ma vie, dans quelle rue jouait mon père
Moi qui suis né près de Paris, sous tout ce vent, toute cette pluie
Je n'oublierai jamais mon pays, jamais mon pays
Et si demain comme aujourd'hui, je dois faire le tour de la terre
Pour chanter aux mondes mes envies, voyager des années entières
Moi qui suis né tout près d'ici, même si je quitte mes amis
Je n'oublierai jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Que c'est ici que je suis né
Je ne connais pas ce parfum de menthe et de sable brûlant
Mais seulement les embruns où les rouleaux de l'océan
Et toi qui me trouve un peu mat, pour ses rues bordées de prairies
Un peu trop blanc couleur d'Euphrate, pour ses poèmes que j'ai appris
Tu es bien le seul que j'oublie, telle l'étoile fidèle a la nuit
Je n'oublierai jamais mon pays, jamais mon pays
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Que c'est ici que je suis né
Et comme toi j'attends la pluie, pour lui dire toutes mes peines
Tout comme toi, je lui souris quand elle tombe sur la plaie
Quand elle tombe sur la plaie
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Que c'est ici que je suis né
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Que c'est ici que je suis né.
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Que c'est ici que je suis né.
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Que c'est ici que je suis né
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Quand elle tombe sur la plaie
Tout comme toi, je lui souris quand elle tombe sur la plaie
Et comme toi j'attends la pluie, pour lui dire toutes mes peines
Que c'est ici que je suis né
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Je n'oublierai jamais mon pays, jamais mon pays
Tu es bien le seul que j'oublie, telle l'étoile fidèle a la nuit
Un peu trop blanc couleur d'Euphrate, pour ses poèmes que j'ai appris
Et toi qui me trouve un peu mat, pour ses rues bordées de prairies
Mais seulement les embruns où les rouleaux de l'océan
Je ne connais pas ce parfum de menthe et de sable brûlant
Que c'est ici que je suis né
Trop d'amis pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de temps abandonné sur les bancs de ma cité
Trop d'amours pour oublier que c'est ici que je suis né
Trop de souvenirs gravés qui courent, d'écoles et d'été
Je n'oublierai jamais mon pays
Moi qui suis né tout près d'ici, même si je quitte mes amis
Pour chanter aux mondes mes envies, voyager des années entières
Et si demain comme aujourd'hui, je dois faire le tour de la terre
Je n'oublierai jamais mon pays, jamais mon pays
Moi qui suis né près de Paris, sous tout ce vent, toute cette pluie
Pour aller voir d'où vient ma vie, dans quelle rue jouait mon père
Et si un jour je pars d'ici, que je traverse le désert
Je ne connais pas d'autres terres que celle qui m'a tendu la main
Je ne connais pas ce soleil qui brûle les dunes sans fin
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