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Seule
(Simon Caby/Bojidarka Esposito/Laura Marciano)
De quelle nuit reverrons-nous le jour ?
De tous nos semblants, nos désamours nés d'un soleil, d'une destinée
Mais c'était pour nous déjà la fin des chants d’été.
Si je suis à bout de désespoir, seule dans le noir
Si tu pars si loin dans un regard que tu nous laisses pour nulle part.
Je resterai à terre sans bruit, reprends la folle course de ta vie
Ta raison d'exister, ta liberté !
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes source de ma mémoire.
Seule ! Dans l'ombre de tes nuits, je me perds de chagrin et d'oubli.
Que sont devenus tous nos moments et tous nos sentiments ?
On n'était pas faits pour mourir mais pour renaître de la vie.
Apprendre, aimer, se reconstruire, forts de tout, plus forts de nous
Envers et contre nous...
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes source de ma mémoire.
Seule ! Dans l'ombre de tes nuits, je me perds de chagrin et d'oubli.
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes source de ma mémoire, oh !
Seule ! Dans l'ombre de tes nuits, je me perds, le temps nous évanouit.
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes ma seule envie d'espoir.
Oh seule ! Si seule ! Mais jamais sans toi, le temps nous reviendra...
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Oh seule ! Si seule ! Mais jamais sans toi, le temps nous reviendra...
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes ma seule envie d'espoir.
Seule ! Dans l'ombre de tes nuits, je me perds, le temps nous évanouit.
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes source de ma mémoire, oh !
Seule ! Dans l'ombre de tes nuits, je me perds de chagrin et d'oubli.
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes source de ma mémoire.
Envers et contre nous...
Apprendre, aimer, se reconstruire, forts de tout, plus forts de nous
On n'était pas faits pour mourir mais pour renaître de la vie.
Que sont devenus tous nos moments et tous nos sentiments ?
Seule ! Dans l'ombre de tes nuits, je me perds de chagrin et d'oubli.
Seule ! À jamais seule ce soir, tu restes source de ma mémoire.
Ta raison d'exister, ta liberté !
Je resterai à terre sans bruit, reprends la folle course de ta vie
Si tu pars si loin dans un regard que tu nous laisses pour nulle part.
Si je suis à bout de désespoir, seule dans le noir
Mais c'était pour nous déjà la fin des chants d’été.
De tous nos semblants, nos désamours nés d'un soleil, d'une destinée
De quelle nuit reverrons-nous le jour ?
(Simon Caby/Bojidarka Esposito/Laura Marciano)
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