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Un Jour Arrive
(Lionel Florence/Jean-Pierre Pilot/Olivier Schultheis)
Des nuits devenues blanches, à se mordre les doigts
Même plus d'instant de revanche, ni goût à quoi que ce soit
Des gestes sans envies, pourtant qu'il faut faire
Pour au moins rester en vie ou croire que c'est nécessaire
Et ronger ces remords encore
Et puis tout arrive quand on n'attend plus
Et puis tout arrive sans rien voir venir
Savoir, savoir qu'il restait l'imprévu et tout ce temps qu'on a perdu
Des jours sans importance des heures qui ne passent pas
Plus supporter le silence ni les autres qu'on revoit
Des paroles inutiles, des conseils en l'air
Comment ça va quand est-il, tu sais l'amour c'est l'enfer
Alors qu'on n'est pas mort encore
Puis tu arrives quand j'y croyais plus
Puis tu m'arrives sans me prévenir
Revoir, revoir comme je t'ai attendu, que c'était pas du temps perdu
Puisque t'arrives, puisque tu m'arrives
Sans peur d'en souffrir
Te voir, te voir comme si deux inconnus s'étaient juste perdus de vue
On oublie ce qu'on a vécu de pire
Toutes ces nuits où l'on voulait en finir, en mourir
Parce que tout arrive quand on a attend plus
Parce que tout arrive sans nous prévenir
Et voir, et voir qu'il reste l'imprévu, à tout ce temps qu'on croit perdu
Un jour arrive, un jour arrive.
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Un jour arrive, un jour arrive.
Et voir, et voir qu'il reste l'imprévu, à tout ce temps qu'on croit perdu
Parce que tout arrive sans nous prévenir
Parce que tout arrive quand on a attend plus
Toutes ces nuits où l'on voulait en finir, en mourir
On oublie ce qu'on a vécu de pire
Te voir, te voir comme si deux inconnus s'étaient juste perdus de vue
Sans peur d'en souffrir
Puisque t'arrives, puisque tu m'arrives
Revoir, revoir comme je t'ai attendu, que c'était pas du temps perdu
Puis tu m'arrives sans me prévenir
Puis tu arrives quand j'y croyais plus
Alors qu'on n'est pas mort encore
Comment ça va quand est-il, tu sais l'amour c'est l'enfer
Des paroles inutiles, des conseils en l'air
Plus supporter le silence ni les autres qu'on revoit
Des jours sans importance des heures qui ne passent pas
Savoir, savoir qu'il restait l'imprévu et tout ce temps qu'on a perdu
Et puis tout arrive sans rien voir venir
Et puis tout arrive quand on n'attend plus
Et ronger ces remords encore
Pour au moins rester en vie ou croire que c'est nécessaire
Des gestes sans envies, pourtant qu'il faut faire
Même plus d'instant de revanche, ni goût à quoi que ce soit
Des nuits devenues blanches, à se mordre les doigts
(Lionel Florence/Jean-Pierre Pilot/Olivier Schultheis)
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UUn JJour AArrive |
| n our rrive |
| nU oJur rArive |
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U7n Jiour Aqrrive |
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| Ujn Juour Arrive |
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| yUn Jur Adrrive |
| Uyn Juor Ardrive |
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Unn Jkur A4rive |
| U A4rrive |
| Un Jokur Ar4rive |
| Um J9ur Agrive |
| Umn J9our Agrrive |
| Unm Jo9ur Argrive |
| Uh J0ur Atrive |
| J0our Atrrive |
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Unh Jo0ur Artrive |
| Uj Jlur A5rive |
| Jlour A5rrive |
| Unj Jolur Ar5rive |
| Ub Jiur Afrive |
| Ubn Afrrive |
| Unb Joiur Arfrive |
| Jouur Aerive |
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Jor Aerrive |
| Joru Arerive |
| Johr |
| Johur |
| Jouhr Arirve |
| Jo7r Ardive |
| Jo7ur |
| Jou7r Arrdive |
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Jokr Ar4ive |
| Joukr Arr4ive |
| Joir Argive |
| Jouir Arrgive |
| Jo8r Artive |
| Jo8ur |
| Jou8r Arrtive |
| Jojr Ar5ive |
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Jojur |
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