 |
|
 |
|
Jal Uzi
J'fais c'que j'ai à faire, garde mon esprit d'guerrière
Les soldats marchent au pas, la garde surveille ses arrières
Les barrières constituent les obstacles les hommes s'tapent pour un bout d'terre
Et les flaques de sang glissent comme la neige en hiver
La jalousie pousse l'homme à détruire les siens
A bas les uzis les synonymes de guerres qui ne rimes à rien
Les vauriens pensent dominer les vermines
Mais n'ont rien qui culmine ou s'termine sans ennemis ni victimes
Trop de cimes … envers ses similaires
Malgré nos similitudes on s'fait quand même la guerre
Des études sur l'homme démontrent que nous sommes tous communs
Mais comment convaincre à un con qu'on évince pas les man si bien
J'ai comme un pressentiment concernant notre avenir
C'est que les sentiments seront sûrement à bannir
J'admire ceux qui s'contente de c'q'ils possèdent
Car l'envie de mésentente par la jalousie obsède
Plus aucune aide, c'est chacun pour soi
Les erreurs se succèdent comme les tapes qu'on reçoit
Quelque soit la chance qu'on a on n'profitera jamais du bonheur
Car la jalousie est là
[Refrain:]
Malgré les galères on s'fait quand même la guerre
Au lieu de se tenir les coudes on s'foudoie tous comme le tonnerre
La jalousie nous saisie, nous pousse à détruire nos semblables jusqu'à l'agonie
Quoi que tu es même si c'est minime
On t'envieras toujours c'que t'as car pour l'humain l'envie est le régime
Trop d'… trop de ces …
Car en simulant nous l'héro au sommet l'héro sublime
L'héroisme d'une vie plait à tout le monde
Car l'envie de ne rien avoir à envier, ouais elle abonde
Y'a pas l'ombre d'une chance que c'phénomène s'arrête un jour
Vu le nombre intense de même on mène nos missions sur l'même parcours
A cours d'idée, l'homme décalque ce qu'il voit
Ce sang vidé par les scalp palpe l'asphalte
Jusqu'à c'qu'on voit en lui le désir d'être convoité
D'être apprécié au plus haut degré
Mais qu'on voit tes concessions ça c'est une chose
Montre que sans ceci sans ceci tu restes un virtuose
Si tu ose dénigrer une personne pour qu'elle contemple
J'espère que les biens sont abondants non pour être l'exemple
Le matérialiste sera bouffé par celui qui agit serein
Il sait que l'image ne fait pas l'humain
|
|
|
 |
|
 |
|
|
|
|
Il sait que l'image ne fait pas l'humain
Le matérialiste sera bouffé par celui qui agit serein
J'espère que les biens sont abondants non pour être l'exemple
Si tu ose dénigrer une personne pour qu'elle contemple
Montre que sans ceci sans ceci tu restes un virtuose
Mais qu'on voit tes concessions ça c'est une chose
D'être apprécié au plus haut degré
Jusqu'à c'qu'on voit en lui le désir d'être convoité
Ce sang vidé par les scalp palpe l'asphalte
A cours d'idée, l'homme décalque ce qu'il voit
Vu le nombre intense de même on mène nos missions sur l'même parcours
Y'a pas l'ombre d'une chance que c'phénomène s'arrête un jour
Car l'envie de ne rien avoir à envier, ouais elle abonde
L'héroisme d'une vie plait à tout le monde
Car en simulant nous l'héro au sommet l'héro sublime
Trop d'… trop de ces …
On t'envieras toujours c'que t'as car pour l'humain l'envie est le régime
Quoi que tu es même si c'est minime
La jalousie nous saisie, nous pousse à détruire nos semblables jusqu'à l'agonie
Au lieu de se tenir les coudes on s'foudoie tous comme le tonnerre
Malgré les galères on s'fait quand même la guerre
[Refrain:]
Car la jalousie est là
Quelque soit la chance qu'on a on n'profitera jamais du bonheur
Les erreurs se succèdent comme les tapes qu'on reçoit
Plus aucune aide, c'est chacun pour soi
Car l'envie de mésentente par la jalousie obsède
J'admire ceux qui s'contente de c'q'ils possèdent
C'est que les sentiments seront sûrement à bannir
J'ai comme un pressentiment concernant notre avenir
Mais comment convaincre à un con qu'on évince pas les man si bien
Des études sur l'homme démontrent que nous sommes tous communs
Malgré nos similitudes on s'fait quand même la guerre
Trop de cimes … envers ses similaires
Mais n'ont rien qui culmine ou s'termine sans ennemis ni victimes
Les vauriens pensent dominer les vermines
A bas les uzis les synonymes de guerres qui ne rimes à rien
La jalousie pousse l'homme à détruire les siens
Et les flaques de sang glissent comme la neige en hiver
Les barrières constituent les obstacles les hommes s'tapent pour un bout d'terre
Les soldats marchent au pas, la garde surveille ses arrières
J'fais c'que j'ai à faire, garde mon esprit d'guerrière
|
|
|
|
|
|
|
|
|
|
| JJal UUzi |
| al zi |
| aJl zUi |
| kal hzi |
| kJal hUzi |
| Jkal Uhzi |
| ial 7zi |
| iJal 7Uzi |
| Jial U7zi |
| mal kzi |
| mJal kUzi |
|
| Jmal Ukzi |
| nal izi |
| nJal iUzi |
| Jnal Uizi |
| hal 8zi |
| hJal 8Uzi |
| Jhal U8zi |
| ual jzi |
| uJal jUzi |
| Jual Ujzi |
| Jaal yzi |
|
| Jl yUzi |
| Jla Uyzi |
| Jzl Uzzi |
| Jzal Ui |
| Jazl Uiz |
| Jql Uai |
| Jqal Uazi |
| Jaql Uzai |
|
|
|
|
|
|
|
|
|