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Tous Ces Peut ãštre
Quelle est la part du hasard
Quelle est la part du destin
Quel vrai choix nous appartient
On arrive toujours quelque part,
Par de si nombreux chemins
Est-ce que le mien me convient ?
Et si j'avance doucement où je vais
Je garde en moi un parfum de regrets
Et je repense à tous ces peut-être
Les autres destins qui m'attendaient
Ces milliers de femmes
Que j'aurais pu être
Et que je ne connaîtrai jamais
On m'a cent fois tiré la main
On m'a poussé, on m'a dit « viens »
Ai-je bien fait d'écouter ?
Une partie de moi reste ailleurs
Et se voit dans toutes ces sœurs
A qui j'aim'rais ressembler
Car si j'avance doucement où je vais
Je garde en moi un parfum de regrets
Et je repense à tous ces peut-être
Les autres destins qui m'attendaient
Ces milliers de femmes
Que j'aurais pu être
Et que je ne connaîtrai jamais
Et si j'avance doucement où je vais
Je garde en moi un parfum de regrets
Et je repense à tous ces peut-être
Les autres destins qui m'attendaient
Toutes ces autres femmes que j'aurais pu être
Et que je ne connaîtrai jamais
Je pense encore à tous ces peut-être
Seraient-ils plus beaux, ou moins, qui sait ?
Les milliers de femmes
Que j'aurais pu être
Dans ces vies que je n'vivrai jamais
Tous ces peut-être
Tous ces peut-être
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Tous ces peut-être
Tous ces peut-être
Dans ces vies que je n'vivrai jamais
Que j'aurais pu être
Les milliers de femmes
Seraient-ils plus beaux, ou moins, qui sait ?
Je pense encore à tous ces peut-être
Et que je ne connaîtrai jamais
Toutes ces autres femmes que j'aurais pu être
Les autres destins qui m'attendaient
Et je repense à tous ces peut-être
Je garde en moi un parfum de regrets
Et si j'avance doucement où je vais
Et que je ne connaîtrai jamais
Que j'aurais pu être
Ces milliers de femmes
Les autres destins qui m'attendaient
Et je repense à tous ces peut-être
Je garde en moi un parfum de regrets
Car si j'avance doucement où je vais
A qui j'aim'rais ressembler
Et se voit dans toutes ces sœurs
Une partie de moi reste ailleurs
Ai-je bien fait d'écouter ?
On m'a poussé, on m'a dit « viens »
On m'a cent fois tiré la main
Et que je ne connaîtrai jamais
Que j'aurais pu être
Ces milliers de femmes
Les autres destins qui m'attendaient
Et je repense à tous ces peut-être
Je garde en moi un parfum de regrets
Et si j'avance doucement où je vais
Est-ce que le mien me convient ?
Par de si nombreux chemins
On arrive toujours quelque part,
Quel vrai choix nous appartient
Quelle est la part du destin
Quelle est la part du hasard
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| T6ous Cse Pesut ãšthre |
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gous Css P3ut ãšyre |
| gTous Cses P3eut ãšytre |
| Tgous Cess Pe3ut ãštyre |
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| Trous Ce3s Pefut ãšt6re |
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Toous Cfs Prut ãšgre |
| Tus Preut ãšgtre |
| Tuos Cefs Perut ãštgre |
| Tkus Crs P4ut ãšrre |
| Tkous Cres P4eut ãšrtre |
| Tokus Cers Pe4ut ãštrre |
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T9us C4s Pdut |
| T9ous C4es Pdeut ãšte |
| To9us Ce4s Pedut ãšter |
| T0us Cds Pwut ãštde |
| T0ous Pweut ãštdre |
| To0us Ceds Pewut ãštrde |
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Tlus Cws Peuut ãšt4e |
| Tlous Cwes Pet ãšt4re |
| Tolus Cews Petu ãštr4e |
| Tius Peht ãštge |
| Tious Ce Pehut |
| Toius Ces Peuht ãštrge |
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Touus Cez Pe7t ãštte |
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