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Bă©cassine
(Jean-Jacques Debout)
Elle est née un beau matin dans un berceau de bois
Son père et sa mère étonnés n'en revenaient pas
De voir cette enfant bien rose et dodue Ă la fois
Avec un nez qu'on ne voyait pas.
AussitĂ´t tout le village se prĂ©parait dĂ©jĂ
Pour venir fĂŞter ce beau baptĂŞme, oui mais voilĂ
Il fallait trouver un surnom, elle n'en avait pas
Mais son papa qui se trouvait lĂ .
A dit "Puisqu'elle ira en classe, ici Ă Clocher les BĂ©casses
Moi j'ai trouvé comment il faudra l'appeler"
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, on est voisine
Quand je m'en vais voir ma grand-mère qui habite au bord de la mer
Je retrouve ma Bécassine qui m'emmène au bout de la terre
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, et la cousine
Marie qui louche m'amuse beaucoup
Ensemble on fait les quatre cents coups, BĂ©cassine, tu nous rends fous.
Un soir BĂ©cassine est partie pour le pensionnat
Aider les enfants pour les vacances Ă Etretat
Je m'ennuyais d'elle on s'Ă©crivait oui mais voilĂ
Ce n'Ă©tait plus du tout comme autrefois.
Quand je partais avec elle Ă la ville dans son automobile
Dans son avion faire des loopings au-dessus des îles.
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, on est voisine
Quand je m'en vais voir ma grand-mère qui habite au bord de la mer
Je retrouve ma Bécassine qui m'emmène au bout de la terre
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, et la cousine
Marie qui louche m'amuse beaucoup
Ensemble on fait les quatre cents coups, BĂ©cassine, tu nous rends fous.
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Ensemble on fait les quatre cents coups, BĂ©cassine, tu nous rends fous.
Marie qui louche m'amuse beaucoup
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, et la cousine
Je retrouve ma Bécassine qui m'emmène au bout de la terre
Quand je m'en vais voir ma grand-mère qui habite au bord de la mer
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, on est voisine
Dans son avion faire des loopings au-dessus des îles.
Quand je partais avec elle Ă la ville dans son automobile
Ce n'Ă©tait plus du tout comme autrefois.
Je m'ennuyais d'elle on s'Ă©crivait oui mais voilĂ
Aider les enfants pour les vacances Ă Etretat
Un soir BĂ©cassine est partie pour le pensionnat
Ensemble on fait les quatre cents coups, BĂ©cassine, tu nous rends fous.
Marie qui louche m'amuse beaucoup
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, et la cousine
Je retrouve ma Bécassine qui m'emmène au bout de la terre
Quand je m'en vais voir ma grand-mère qui habite au bord de la mer
BĂ©cassine, c'est ma cousine, BĂ©cassine, on est voisine
Moi j'ai trouvé comment il faudra l'appeler"
A dit "Puisqu'elle ira en classe, ici Ă Clocher les BĂ©casses
Mais son papa qui se trouvait lĂ .
Il fallait trouver un surnom, elle n'en avait pas
Pour venir fĂŞter ce beau baptĂŞme, oui mais voilĂ
AussitĂ´t tout le village se prĂ©parait dĂ©jĂ
Avec un nez qu'on ne voyait pas.
De voir cette enfant bien rose et dodue Ă la fois
Son père et sa mère étonnés n'en revenaient pas
Elle est née un beau matin dans un berceau de bois
(Jean-Jacques Debout)
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