Alain Souchon
C'etait Un Soir

C'était un soir comme tous les soirs.
Sur le journal, y'avait des mots.
Y'avait les Stones à la radio qui pleuraient.
C'était un soir orange et vert.
Y'a des fumées au fond de l'air à Paris.
C'était un soir de temps qui passe,
Avec ses mégots, ses palaces
Et ces visages fatigués, fatigués...

J'avais des soirs de poésie tout là bas, quand j'étais petit,
Avec des rires de confiture coulant sur des pages d'écriture.
J'avais des soirs de tragédie, de larmes et de piqûres d'orties,
De vrais chagrins au fond des nuits de mes nuits.

Mais c'est un soir comme tous les soirs.
Au bout de mon lit passent des autos.
Au bout de ma vie, coulent des bateaux, mes bateaux.
Mais c'est un soir orange et vert,
Sous le soleil des réverbères de Paris.

C'était un soir comme tous les soirs.
Sur le journal, y'avait des mots.
Y'avait les Stones à la radio qui pleuraient.
C'était un soir orange et vert.
Y'a des fumées au fond de l'air à Paris.

C'était un soir comme tous les soirs.
Sur le journal, y'avait des mots.
Y'avait les Stones à la radio qui pleuraient, qui pleuraient


Mirror lyrics:

Y'avait les Stones à la radio qui pleuraient, qui pleuraient
Sur le journal, y'avait des mots.
C'était un soir comme tous les soirs.

Y'a des fumées au fond de l'air à Paris.
C'était un soir orange et vert.
Y'avait les Stones à la radio qui pleuraient.
Sur le journal, y'avait des mots.
C'était un soir comme tous les soirs.

Sous le soleil des réverbères de Paris.
Mais c'est un soir orange et vert,
Au bout de ma vie, coulent des bateaux, mes bateaux.
Au bout de mon lit passent des autos.
Mais c'est un soir comme tous les soirs.

De vrais chagrins au fond des nuits de mes nuits.
J'avais des soirs de tragédie, de larmes et de piqûres d'orties,
Avec des rires de confiture coulant sur des pages d'écriture.
J'avais des soirs de poésie tout là bas, quand j'étais petit,

Et ces visages fatigués, fatigués...
Avec ses mégots, ses palaces
C'était un soir de temps qui passe,
Y'a des fumées au fond de l'air à Paris.
C'était un soir orange et vert.
Y'avait les Stones à la radio qui pleuraient.
Sur le journal, y'avait des mots.
C'était un soir comme tous les soirs.


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CC'etait UUn SSoir 'etait n oir 'Cetait nU oSir f'etait hn zoir fC'etait hUn zSoir Cf'etait Uhn Szoir x'etait 7n woir
xC'etait 7Un wSoir Cx'etait U7n Swoir v'etait kn doir vC'etait kUn dSoir Cv'etait Ukn Sdoir d'etait in eoir dC'etait iUn eSoir
Cd'etait Uin Seoir C''etait 8n xoir Cetait 8Un xSoir Ce'tait U8n Sxoir C'eetait jn aoir C'tait jUn aSoir C'teait Ujn Saoir
C'stait yn Sooir C'setait yUn Sir C'estait Uyn Sior C'3tait Unn Skir C'3etait U Skoir C'e3tait Un Sokir C'ftait Um S9ir
C'fetait Umn S9oir C'eftait Unm So9ir C'rtait Uh S0ir C'retait S0oir C'ertait Unh So0ir C'4tait Uj Slir C'4etait Sloir
C'e4tait Unj Solir C'dtait Ub Siir C'detait Ubn Sioir C'edtait Unb Soiir C'wtait C'wetait Sor C'ewtait Sori
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